Nos chercheurs
A
Céline a rejoint l’équipe de la Dre. Mary-Ellen Harper de l’Université d’Ottawa pour son post-doctorat.
En 2013, elle a obtenu un poste de chercheure à l’Institut du Savoir Montfort à Ottawa. Depuis 2022, Céline est professeure adjointe au Campus Outaouais de l’Université McGill. Elle est aussi professeure auxiliaire à l’université d’Ottawa dans le département de Biochimie, Microbiologie et Immunologie et chercheure affiliée à l’Institut du Savoir Montfort (Ottawa) où se déroule sa recherche.
B
École interdisciplinaire de la santé
Aurélie Baillot est détentrice d’une bourse provinciale de chercheur (Junior II, FRQS). Ses intérêts de recherche sont centrés sur l’amélioration des interventions en activité physique auprès des personnes avec une obésité sévère pris en charge ou non au niveau chirurgical. Elle a réalisé durant son postdoctorat plusieurs études interventionnelles sur l’impact de l’activité physique en pré chirurgie bariatrique, et elle est l’auteure de plusieurs revues systématiques de la littérature visant à identifier les effets biopsychosociaux de l’activité physique chez les personnes avec une obésité.
Ses activités de recherche principales visent auprès de cette population à :
i) identifier les déterminants biopsychosociaux de la pratique d’activité physique régulière,
ii) évaluer les effets biopsychosociaux et comportementaux de l’effort (exercice aigu) et de l’activité physique régulière et
iii) analyser l’impact biopsychosocial et comportemental de la stigmatisation liée au poids durant la pratique d’activité physique.
Ainsi, elle s’intéresse à deux enjeux majeurs de santé au Canada : l’inactivité physique et l’obésité, et contribue à l’avancement des connaissances sur cette thématique.
Elle travaille notamment à comprendre quels sont les mécanismes qui contribuent à la transmission intergénérationnelle de la maltraitance. Son programme de recherche a permis de montrer que plusieurs parents qui ont un passé de maltraitance reconnaissent et réagissent différemment aux émotions des enfants. Ces particularités se répercutent sur leur sensibilité parentale, contribuant ainsi à nourrir le cycle de la maltraitance.
L’expertise d’Annie Bérubé sur la réponse aux besoins des enfants, combinée à ses connaissances en évaluation de programmes, lui ont valu de coordonner des projets de recherche visant à mieux comprendre l’organisation et les retombées des programmes en négligence au Québec. Les connaissances ainsi développées permettent de mieux comprendre et accompagner les enfants et les familles en contexte de vulnérabilité.
C
E
J
L
Ses domaines de recherche incluent la modélisation thermique bio-chaleur, tels que la diffusion de la chaleur dans les tissus biologiques, la génération de chaleur métabolique et les interactions externes, ainsi que les mécanismes de transfert de chaleur dans les tissus biologiques pour des pratiques thérapeutiques thermiques, incluant la conception de puces bio-implantables dédiées au contrôle de la dose thermique dans le traitement du cancer. De plus, ses intérêts de recherche portent sur l’apprentissage machine pour reconnaître et quantifier la douleur, afin de suivre toute blessure potentielle à l’aide de réseaux neuronaux et de traitement d’images thermiques. Ses recherches portent également sur la conception d’outils entièrement automatisés pour le portage de circuits analogiques et mixtes dans différentes technologies.
Son expertise en recherche porte sur les soins du développement en néonatologie, le développement d’interventions éducatives pour les parents de nouveau-nés prématurés, la proximité parent/enfant en néonatologie, le bien-être psychologique des parents de nouveau-nés prématurés, ainsi que le sommeil des nouveau-nés prématurés et leurs parents.
M
N
En tant que directrice scientifique au Centre intégré de santé et des services sociaux de l’Outaouais, Véronique Nabelsi a conçu et mis en place un programme scientifique ambitieux structuré autour de trois axes :
1) Santé numérique,
2) Proximité et personnalisation des soins et services, et
3) Soins axés sur la valeur.
Sa carrière se distingue par sa capacité à développer et à mettre en œuvre des technologies innovantes dans les pratiques de soins, visant à améliorer l’accès, la coordination et la continuité des soins, tout en optimisant les flux cliniques et administratifs au sein de diverses trajectoires de soins.
Expertise :
• Systèmes d’information cliniques
• Implantation des technologies de l’information
• Innovation en santé et services sociaux
• Gestion du changement technologique
• Communauté de pratique interprofessionnelle
• Optimisation des trajectoires de soins et de services
• Impacts des technologies de l’information sur les organisations
• Value-based health care (VBHC)
• Recherche quantitative
O
Il est chargé de cours à temps partiel à la faculté de médecine dentaire et des sciences de la santé orale et à la faculté de médecine et des sciences de la santé de l’Université McGill. Il a présenté des conférences et cours de formations aux dentistes au Canada, aux États-Unis, en Europe, en Afrique et au Moyen-Orient.
P
Geneviève Pagé est professeure titulaire au Département de travail social de l’Université du Québec en Outaouais (UQO).
Elle assure depuis juin 2021 la direction scientifique de l’Équipe de recherche sur le placement et l’adoption en protection de la jeunesse, en plus d’être chercheuse régulière à l’Institut universitaire Jeunes en difficulté.
Elle réalise divers projets de recherche portant sur l’adoption et les projets de vie alternatifs (tutelle, placement à majorité) en contexte de protection de la jeunesse en vue de mieux comprendre les pratiques d’intervention dans ce domaine ainsi que l’expérience individuelle et les interactions entre les différentes personnes concernées (parents d’accueil avec ou sans projet d’adoption, parents d’origine, enfants, personnes intervenantes).
Véronique Plouffe, M.Sc., CPA auditrice, est professeure agrégée au département des sciences comptables de l’Université du Québec en Outaouais.
Ses intérêts de recherche incluent la gestion de projet, l’utilisation de méthodes d’évaluation de la performance dans les organisations de soins de santé et l’évaluation du coût des trajectoires de soins, notamment par l’utilisation de la méthode ABC pilotée par le temps (Time Driven Activity-Based Costing, ou TDABC) et de la méthode ABC (Activity Based Costing).
– Gestion de la qualité et sécurité des soins,
– Politiques de santé,
– Partenariat de soins et de services,
– Innovation,
– Technologie de la santé,
– Intelligence artificielle.
Alexandra Potvin-Desrochers, Ph.D., est docteure en neurosciences, chercheuse d’établissement au CISSS de l’Outaouais, co-directrice du laboratoire de recherche TechSoins et professeure associée à l’École interdisciplinaire de la santé de l’Université du Québec en Outaouais.
Ses projets de recherche visent l’amélioration de la qualité de vie des personnes âgées et des personnes vivant avec la maladie de Parkinson en utilisant l’activité physique et les technologies (ex. réalité virtuelle, actigraphie, neuromodulation non-invasive) comme vecteurs d’intervention et de quantification.
T
En recherche, mon centre d’intérêt est la conciliation travail-santé dans divers contextes socioprofessionnels.
Mes recherches s’inscrivent dans l’un des axes suivants :
1) l’apprentissage informel en santé;
2) le soutien psychosocial aux travailleurs;
3) le maintien et la promotion de la santé psychologique de travailleurs en situation de vulnérabilité.
Sur le plan théorique, je me situe dans une perspective sociomatérielle de l’apprentissage, ce qui se concrétise par un intérêt pour les usages sociaux de la littératie et les technologies. Au plan méthodologique, les études qualitatives sont privilégiées. Je suis habilité à la direction à la maîtrise et à la co-direction doctorale en Sciences infirmières, à la codirection à la maîtrise en Sciences de l’éducation et à la co-direction au doctorat en Sciences sociales appliquées. Enfin, je suis affilié comme chercheur au CISSS de l’Outaouais.